• En mai fais ce qu'il te plait : entretien croisé entre Ennio Morricone et Christian Carion // le 4 novembre 2015 au cinéma !

    En mai fais ce qu'il te plait : entretien croisé entre Ennio Morricone et Christian Carion // le 4 novembre 2015 au cinéma !

    Un film de Christian Carion  

     

    Avec August Dhiel, Olivier Gourmet, Mathilde Seigner, Alice Isaaz et Matthew Rhys

    SORTIE EN SALLES LE 4 NOVEMBRE 2015

    ***********

     

    ENNIO MORRICONE / CHRISTIAN CARION :

     

    DEUX VOIX POUR UN MÊME FILM

    En mai fais ce qu'il te plait : entretien croisé entre Ennio Morricone et Christian Carion // le 4 novembre 2015 au cinéma !

    © David DESSITES

     

    C’est l’histoire d’un génie italien de la musique pour l’image, un génie suractif, pléthorique, inépuisable, dont l’inspiration semble défier le temps qui passe. C’est aussi l’histoire d’un cinéaste français du nouveau monde, dont la cinéphilie musicale a été façonnée par l’écriture du maître transalpin, son lyrisme à l’infini, sa part de grandeur, d’élévation. C’est enfin l’histoire d’une rencontre miraculeuse, inespérée, malgré deux générations d’écart, un barrage linguistique, des milliers de kilomètres de distance. Entretien croisé avec Ennio Morricone et Christian Carion autour du film qui, après trente ans d’éclipse, ramène le Maestro au cinéma français.


    Ennio Morricone, comment avez-vous réagi à la sollicitation de Christian Carion pour EN MAI FAIS CE QU’IL TE PLAÎT ? Quel aspect du sujet et de son traitement vous ont motivé ?

    Ennio Morricone : Il n’a pas fallu beaucoup de temps pour me décider. Dès les premières images, j’ai été emporté… C’est un film qui a la force de la simplicité, avec un récit d’une grande clarté. J’ai senti que je pouvais apporter ma propre sensibilité à l’histoire de ce peuple qui abandonne son village, ses maisons, son quotidien pour se lancer à la recherche d’une nouvelle liberté. Le sujet m’a touché car je suis moi-même un enfant de la guerre : j’avais douze ans, à Rome, au moment où se déroulaient les évènements évoqués par Christian. En même temps, si je savais évidemment que les Allemands avaient envahi la France en 1940, j’ignorais tout du phénomène de l’exode. C’est la combinaison de ces deux paramètres qui m’a convaincu : nouveau sujet, nouveau
    metteur en scène.


    Pour vous, Christian, proposer le film à Ennio Morricone, était-ce un rêve de cinéphile ou de cinéaste ?

    Christian Carion : Disons les deux ! Quand j’ai présenté le projet à mes producteurs, Christophe Rossignon et Jérôme Seydoux, je leur ai précisé que c’était un western, avec des grands espaces, des chariots, des chevaux. Pour conforter cette dimension, l’élaboration du scénario s’était faite en musique, sur IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L’OUEST, IL ÉTAIT UNE FOIS LA RÉVOLUTION ou même MISSION. Des mois plus tard, à l’étape du montage, comme il fallait des musiques temporaires en guise de colonne vertébrale, j’ai soufflé à la monteuse, Laure Gardette, une idée logique : « Utilisons celles qui m’ont accompagné à l’écriture. » C’était comme une expérience de laboratoire, totalement magique : le souffle lyrique du grand thème de IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L’OUEST sur le départ du convoi, nous donnait la chair de poule. Pascal Mayer, notre superviseur musical, a proposé l’idée à la production : « Et si l’on contactait Ennio Morricone ? Je suis déjà en contact avec lui et on n’a rien à perdre ! » Je n’y croyais pas, jusqu’au jour où Pascal  m’a dit : « On peut trouver un accord et j’ai obtenu un rendez-vous avec lui à Rome » Soudainement, c’était un fantasme d’écriture qui devenait réalité. Mais une réalité complexe, difficile à appréhender : c’est un monstre sacré, qui ne parle pas notre langue, qui a ses habitudes d’enregistrement à Rome, qui n’a pas composé pour un film français depuis 1985.

    Etiez-vous dans le même état que Martin Scorsese devant Bernard Herrmann, c’est-à-dire dans un mélange d’excitation et d’anxiété ?

    Christian Carion : Comment ne pas avoir le trac face à un compositeur dont les musiques ont balisé les moments clés de votre vie ? Quand Pascal et moi avons sonné à sa porte le 6 novembre 2014, il avait déjà lu un synopsis de EN MAI FAIS CE QU’IL TE PLAÎT en italien. Il m’a accueilli très poliment, mais en me précisant : « Moi, ma méthode idéale, c’est de composer sur le scénario afin que le cinéaste tourne sur la musique ! - Merci Maestro, je le saurai pour la prochaine fois. Tant pis pour ce film…
    - Non, vous êtes venu jusqu’à moi, on peut parler, malgré tout. Qu’avez-vous amené ? » J’avais avec moi le scénario en italien et deux versions du film, la première avec les musiques temporaires, la seconde sans. Je lui ai proposé de visionner cette dernière, il a refusé net : « Pas question ! J’ai besoin de connaître vos goûts musicaux : ils me permettront de savoir si on peut s’entendre. » Nous nous sommes donc retrouvés devant une petite télévision, le Maestro le nez
    collé contre l’écran, moi derrière. Vous imaginez la mise en abyme : je devenais spectateur d’Ennio Morricone, lui-même spectateur de mon film. Il a lâché quelques commentaires, surtout au début, puis s’est laissé envahir par le récit. À la fin, il était visiblement touché : « Molto bello ! Vous avez ma bénédiction pour acheter les droits des morceaux en question ! » Je me suis rebiffé : « Comment voulez-vous réutiliser IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L’OUEST ? Non, il me faut une musique originale ! » Il m’a alors entraîné dans son monumental salon, au-dessus du piano : « Après la lecture du synopsis, j’ai pensé à ceci. » Il a posé un bout de partition griffonné sur le chevalet, je lui ai demandé l’autorisation de le filmer avec mon téléphone, il a réfléchi et m’a dit : « Personnel ? » J’ai répondu « Personnel ! » (Même si depuis, je l’ai montré à la terre entière). Et il m’a joué un thème qui était un pur concentré de Morricone, un thème qui m’a fait monter les larmes. Quand il a arrêté de jouer, j’ai compris qu’il venait d’accepter le projet, que son inspiration avait commencé à galoper, que j’étais au bon endroit, au bon moment, devant la bonne personne.


    Ennio Morricone : Vous savez, moi aussi, j’étais tendu quand je vous ai joué ce thème au piano ! Ce moment où l’on soumet ses propositions au cinéaste, tout compositeur le vit avec inquiétude. Pour ma part, j’ai besoin que mon travail, mes idées soient assimilées par le metteur en scène. Ce n’est pas systématique, car ce dernier n’a pas forcément une compréhension suffisante du langage musical. Avec Christian, l’entente humaine et professionnelle a été immédiate, on s’est trouvé instantanément.

    Comment compose-t-on la musique d’un film dont on ne parle pas la langue ? Cela peut-il être un avantage ?

    Ennio Morricone : Devant un film, le plus important, c’est ce que je vois, davantage que ce que j’entends. Dans le cas de EN MAI FAIS CE QU’IL TE PLAÎT, l’histoire était suffisamment claire, les images, le découpage, le montage suffisaient à tout me faire comprendre. Je n’ai jamais demandé à Christian des éclaircissements sur, mettons, la psychologie de tel ou tel personnage. D’une certaine façon, le fait de ne pas saisir littéralement le dialogue m’a aidé à m’en détacher. Ce qui me parlait directement, c’est la dramaturgie de l’exode, la dimension collective de l’histoire, avec en toile de fond une tragédie, celle de la guerre.

    En mai fais ce qu'il te plait : entretien croisé entre Ennio Morricone et Christian Carion // le 4 novembre 2015 au cinéma !

    © David DESSITES

     

    Précisément, l’un des parti-pris originaux du film est de ne pas surligner musicalement la violence des séquences de guerre : l’attaque des Stukas, l’affrontement avec les éclaireurs… Le discours musical se situe à un autre niveau.

    Ennio Morricone : C’était la demande de Christian, totalement en accord avec mes propres convictions. Les situations de violence se suffisent à elles-mêmes : la séquence des Stukas qui bombardent le convoi n’a pas besoin d’une dramatisation musicale pour être terrifiante. En revanche, pour raconter la quête de la liberté, à mon sens le thème profond du film, la musique possède une vraie mission.


    Christian Carion : Votre réflexion précise, Maestro, a été : « Ce n’est pas un film de guerre mais un film qui se passe pendant la guerre. » Ce qui voulait dire : oublions le contexte historique, concentrons-nous sur le collectif, sur les êtres humains qui trament ce long convoi, leur destinée. La guerre doit être à l’image, pas dans la musique.


    Ennio Morricone : De toute façon, pour moi, s’il s’était agi d’un nouveau film de guerre, j’aurais simplement refusé d’y prendre part ! (rires)


    Suite au premier rendez-vous, quelle méthode avez-vous suivie ?

    Christian Carion : Trois semaines plus tard, fin novembre, on s’est retrouvé à Rome avec l’équipe de montage pour déterminer avec Ennio les séquences précises à mettre en musique. Il était là, à l’ancienne, avec son chronomètre, prenant des notes sur un cahier d’écolier.

    Ennio Morricone : Plus je revoyais ces séquences, plus elles infusaient en moi. Le rythme et le tempo du convoi m’ont donné l’idée de ce qui devait être le thème principal… Une marche lente et processionnaire. Et puis, dès que Christian est rentré à Paris, j’ai tout remis à plat. Je vais vous expliquer pourquoi : d’abord, dans le titre du film, il y a une allusion au printemps. C’est un printemps tragique mais un printemps néanmoins. Cette idée du printemps m’a fait penser à la flamme intérieure de ces gens en marche, animés de l’espoir de pouvoir s’inventer une autre vie. Donc voilà : au cours du processus d’écriture, j’ai pris tardivement conscience d’un vrai manque, celui d’un morceau ample et généreux qui illustrerait, pardon de me répéter, cette fameuse quête de la liberté. Construite sur un grand crescendo, cette pièce composée in extremis a changé les perspectives de la partition dans son ensemble, son architecture même. À priori, je n’écris jamais de morceau supplémentaire sans m’être concerté au préalable avec le cinéaste. Après un demi-siècle de cinéma, c’est ma première exception à ce principe !


    Christian Carion : Très honoré, Maestro. (rires) Je n’oublierai jamais notre coup de fil de début janvier, pour se souhaiter la bonne année. Nous allions enregistrer dix jours plus tard. Et vous m’avez glissé, sur un ton détaché : « Ah, j’ai oublié de vous dire : j’ai écrit un second thème, totalement en dehors de nos accords. Vous le découvrirez en studio ! » Ce qui est arrivé le lundi 12 janvier, un jour à jamais gravé dans ma mémoire. C’était le lendemain du grand rassemblement, suite aux évènements de Charlie Hebdo. Nous sommes arrivés à Rome dans un état d’émotion, de fragilité objective. Vous m’avez accueilli au studio d’enregistrement avec à la main le quotidien La Reppublica, avec en première page, une photo de la place de la République. Nous sommes entrés dans le studio, vous vous êtes mis au pupitre. Avec tous les musiciens, nous avons observé une minute de silence. À la fin de cette minute, vous avez tapé dans vos mains et tonné : « Cinéma ! » Comme si vous aviez dit : « On ne va pas se laisser abattre ! » Une énergie incroyable émanait du studio et cela venait d’un monsieur de 86 ans. » Et vous avezouvert l’enregistrement en dirigeant ce mystérieux thème, composé en secret. Et là, vous nous avez ressuscités ! Ce morceau est devenu le thème du « peuple des routes », il s’est marié aux images comme s’il avait été pensé et voulu dès notre première rencontre.


    Ennio Morricone : Je n’ai fait que suivre mon instinct. Il me fallait simplement passer du temps seul en tête-à-tête avec le film pour que celui-ci appelle ce thème, le réclame comme une évidence.

     

    Christian, comment avez-vous justement vécu cette étape de l’enregistrement au studio Forum, où le Maestro a enregistré tant de Partitions iconiques ?

    Christian Carion : Ça a été une parenthèse enchantée : entre l’enregistrement et les mixages, nous avons passé une semaine à Rome, en totale immersion. J’ai été fasciné par ce studio Forum, construit sous une église, piazza Euclide. Le Maestro avait assemblé une formation de cinquante-cinq musiciens qui tenaient tout juste entre les murs. Je lui ai demandé : « Vous n’avez jamais pensé à agrandir ? » Réponse sans appel : « Vous plaisantez ? Ce sont les fondations de Dieu ! » Et puis, les moments de pause, les déjeuners nous ont permis de mieux faire connaissance. Il s’est livré, a brisé la glace, m’a raconté des anecdotes savoureuses sur Sergio Leone ou Elio Petri. Sa femme, Maria, n’a pas assisté aux enregistrements. Mais après avoir finalisé le mixage du grand thème final, le Maestro a demandé à Fabio Venturi, son ingénieur du son, de le caler au début. Il a pris le téléphone, a composé un numéro, a brandi le combiné vers les enceintes. On était ahuri, on ne comprenait pas la situation. C’était Maria au bout du fil, il voulait simplement avoir son avis ! Coup de chance, elle a aimé, nous avons donc conservé le morceau dans le film ! (rires) Et puis, pendant ces journées de studio, Ennio m’a lâché une phrase qui m’a ébranlé : « Vous savez, on en fait toujours beaucoup trop. À l’arrivée, il faudra faire des choix. » Cela signifiait que, dans les soixante minutes de musique enregistrées, j’allais devoir opérer une sélection. Et j’avais en face de moi un compositeur qui en était conscient… et qui me le demandait.


    Avez-vous suivi cette recommandation ?

    Christian Carion : Oui, en faisant délibérément intervenir sa musique au bout de vingt-cinq minutes, avec le départ du convoi. Le Maestro est l’une des stars du film et, comme beaucoup de stars, il ménage son entrée, il sait se faire attendre. Malgré tout, je craignais que ce parti-pris le chiffonne… Quand je lui ai montré EN MAI FAIS CE QU’IL TE PLAÎT mixé et sous-titré en italien, en avril, il m’a déclaré joliment : « Pendant la première partie, je me suis demandé pour quelles raisons j’avais accepté ce film ; pendant la seconde, j’ai compris pourquoi.»


    Ennio Morricone : Vous avez simplement suivi ma consigne, en vous réappropriant mon travail. Voir le résultat mixé m’a fait encore plus aimer votre film, sa puissance et simplicité mêlées.

    En mai fais ce qu'il te plait : entretien croisé entre Ennio Morricone et Christian Carion // le 4 novembre 2015 au cinéma !

    © David DESSITES


    Fait à souligner, le final de EN MAI FAIS CE QU’IL TE PLAÎT a déjà intégré le programme des concerts du Maestro…

    Christian Carion : C’était le cadeau supplémentaire. Nous étions à Lyon, fin mars, Ennio donnait un concert à la Halle Tony-Garnier, devant quatre mille spectateurs chauffés à blanc. Effectivement, il a tenu à ouvrir le programme avec EN MAI FAIS CE QU’IL TE PLAÎT. C’est-à-dire une musique que personne ne connaissait, d’un film qui n’était pas encore sorti ! Écouter le thème de mon film dans cet immense paquebot, au milieu du public, m’a mis en lévitation, surtout dans un programme où se bousculaient des partitions classiques, avec lesquelles j’avais grandi. L’histoire de EN MAI FAIS CE QU’IL TE PLAÎT, aux résonances familiales et intimes, rejoignait la légende « morriconienne » !


    Ennio Morricone : Vous risquez d’être encore bouleversé car je compte récidiver ! (rires)


    Christian, pouvez-vous me dire quelles sont les réactions des spectateurs qui ont déjà vu le film ?

    Christian Carion : À la fin des projections de présentation, l’émotion est tangible, en partie grâce aux sept minutes du final. Personne ne bouge, le public reste assis jusqu’à la fin, sous l’emprise de la musique. Quand j’arrive pour débattre avec les spectateurs, j’ai presque l’impression de les déranger. Les deux thèmes récurrents des discussions sont : « Finalement, c’est l’histoire des migrants d’aujourd’hui, c’est une parabole sur l’appel de la liberté. » Le second sujet, c’est «l’effet Morricone». Je dois systématiquement répondre à des questions sur notre collaboration, la méthode de travail, l’enregistrement. Le public français est fasciné de voir surgir votre nom au générique. Comme une apparition magique, presque irréelle.

    Maestro, voyez-vous EN MAI FAIS CE QU’IL TE PLAÎT comme le premier jalon d’une aventure partagée avec Christian Carion ?

    Ennio Morricone : Pourquoi pas ? Tout dépend de sa volonté, de son désir. C’est lui le cinéaste. Un premier film, c’est l’occasion de faire connaissance, de cerner la personnalité, les goûts de l’autre. À partir du second, les fondations sont déjà construites, on commence à creuser, à approfondir un univers commun. Dans l’absolu, j’aimerais que EN MAI FAIS CE QU’IL TE PLAÎT ne soit pas un point d’arrivée mais un point de départ.


    Rome, le 15 septembre 2015

     

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  • Le 21 octobre 2015, vivez l’ultime expérience Paranormal Activity

     

    avec le chapitre final PARANORMAL ACTIVITY 5 GHOST DIMENSION,

     

    en 3D au cinéma !

     

     

    LE CHAPITRE FINAL

     

    Le producteur Jason Blum vous parle du chapitre final de la franchise !

     

     

     

    L’ULTIME EXPÉRIENCE PARANORMAL ACTIVITY

    Souvenez-vous…tout a commencé il y a 6 ans…

     

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  • LE 7 OCTOBRE 2015 EN 2D ET 3D AU CINÉMA

    Pour tout comprendre sur Le Labyrinthe découvrez vite la vidéo qui résume tout !

     

    La Braise (ou le virus VC321xb47) a ravagé le monde.
    Découvrez le guide de cette épidémie méconnue.

     

    (Re)découvrez la bande-annonce définitive

     

    Synopsis :

    Dans ce second volet de la saga épique LE LABYRINTHE, Thomas (Dylan O’Brien) et les autres Blocards vont devoir faire face à leur plus grand défi : rechercher des indices à propos de la mystérieuse et puissante organisation connue sous le nom de WICKED.

    Or le monde qu’ils découvrent à l’extérieur du Labyrinthe a été ravagé par l’Apocalypse. Leur périple les amène à la Terre Brûlée, un paysage de désolation rempli d'obstacles inimaginables. Plus de gouvernement, plus d'ordre… et des hordes de gens en proie à une folie meurtrière qui errent dans les villes en ruine.
    Les Blocards vont devoir unir leurs forces avec d'autres combattants pour pouvoir affronter WICKED et tenter de défier son immense pouvoir.

    LE 7 OCTOBRE 2015 EN 2D ET 3D AU CINÉMA

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  • L’ODEUR DE LA MANDARINE

    - LE 30 SEPTEMBRE 2015 AU CINÉMA -

    Un film de Gilles Legrand (Malabar Princess, Tu seras mon fils)
    Avec Olivier Gourmet, Georgia Scalliet (de la Comédie Française), Dimitri Storoge, Hélène Vincent, Marine Vallée.

    DÉCOUVREZ UNE FEATURETTE :

    L'ODEUR DE LA MANDARINE, le 30 septembre 2015 au cinéma ! Le casting vous présente une histoire d’amour au-delà des conventions dans une featurette exclusive !

    SYNOPSIS : 

    Eté 1918. La guerre fait rage pour quelques mois encore, mais pour Charles et Angèle, elle est déjà finie. Lui,  officier de cavalerie y a laissé une jambe. Elle, son infirmière à domicile, vient de perdre au front son grand amour, le père de sa petite fille.

    Unis par le besoin de se reconstruire, ils nouent une complicité joyeuse qui les ramène à la vie. Sur l'insistance de Charles, Angèle accepte un mariage de raison. Il leur faudra entrer en guerre, contre eux-mêmes et contre l'autre avant d'accepter l'évidence de la passion qui les lie malgré eux…

    L'ODEUR DE LA MANDARINE, le 30 septembre 2015 au cinéma ! Le casting vous présente une histoire d’amour au-delà des conventions dans une featurette exclusive !

    L'ODEUR DE LA MANDARINE, le 30 septembre 2015 au cinéma ! Le casting vous présente une histoire d’amour au-delà des conventions dans une featurette exclusive !

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    DÉCOUVREZ LA BANDE-ANNONCE :

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  •  

    AU CINEMA LE 26 AOÛT 2015

    2 NOUVELLES VIDÉOS DÉVOILÉES

    RENCONTREZ KATIA VAN DEES

     

    NOUVEL EXTRAIT : SNIPER

     

    BANDE-ANNONCE VOST

     

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  • MERCREDI PROCHAIN, VOUS NE POURREZ PAS LUI ÉCHAPPER …

    Un film de CIARAN FOY 

     écrit par SCOTT DERRICKSON et C. ROBERT CARGILL

     

    Découvrez la featurette du film et une « vidéo 16mm » :

    Featurette :

    VOST 

     

    « Film 16 mm »

    VF

     

     LES EXTRAITS  : 

    Extrait #1 :

    VOST  

        VF  

     

    Extrait #2 :

    VOST  

    VF 

     

     

    Bande-annonce Red Band :

    VOST

     VF

     

    Synopsis :

     

    Alors qu’il reprend son enquête inachevée sur les homicides non résolus, l’ex-shérif adjoint fait la connaissance d’une jeune mère de famille et de ses jumeaux. Ces derniers viennent de s’installer dans une maison où des évènements macabres se sont produits.

     

    Tout porte à croire qu’il s’agit à nouveau de la même entité surnaturelle et que la famille est en danger ...

     

     

    mercredi 19 AOUT 2015 AU CINÉMA

    Interdit aux moins de 12 ans – avec avertissement

     

    UN FILM DISTRIBUÉ PAR WILD BUNCH DISTRIBUTION

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  • Qui se cache derrière l’équipe de l’IMF ?

     

    Le 12 août au cinéma, retrouvez l’équipe de Mission: Impossible au grand complet :

    Ethan Hunt, Benji Dunn, William Brandt et Luther Stickell

    et faites connaissance avec Ilsa Faust, l’égale d’Ethan Hunt. Saurez-vous lui faire confiance ?

     

    L’équipe au complet

     

    Tom Cruise est Ethan Hunt

     

    Rebecca Ferguson est Ilsa Faust

     

    Simon Pegg est Benji Dunn

     

    Jeremy Renner est William Brandt

     

    Ving Rhames est Luther Stickell

     

    SYNOPSIS 

     L’équipe IMF (Impossible Mission Force) est dissoute et Ethan Hunt (Tom Cruise) se retrouve désormais isolé,

    alors que le groupe doit affronter un réseau d’agents spéciaux particulièrement entraînés, le Syndicat.

    Cette organisation sans scrupules est  déterminée à mettre en place un nouvel ordre mondial à travers des attaques terroristes de plus en plus violentes.

    Ethan regroupe alors son équipe et fait alliance avec Ilsa Faust (Rebecca Ferguson), agent britannique révoquée, dont les liens avec le Syndicat restent mystérieux.

    Ils vont s’attaquer à la plus impossible des missions : éliminer le Syndicat.


    Au cinéma le 12 août 2015
    Vivez le en IMAX

     

    De Christopher McQuarrie

    Avec Tom Cruise, Simon Pegg, Jeremy Renner, Alec Baldwin, Ving Rhames et Rebecca Ferguson

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  • MAKING OF – TOM CRUISE SANS DOUBLURE  

     

    LES CASCADES SEMBLENT RÉELLES PARCE QU’ELLES SONT RÉELLES !

     

       Découvrez 3 vidéos making-of des cascades réalisées lors du tournage du film.

     

    Vivez l’expérience Mission: Impossible sur grand écran le 12 août.

     

    MAKING-OF VOITURES

    VOST :  

    MAKING-OF MOTOS

    VOST :

     

     MAKING-OF AVION

    VOST :

    SYNOPSIS :

     L’équipe IMF (Impossible Mission Force) est dissoute et Ethan Hunt (Tom Cruise) se retrouve désormais isolé,

    alors que le groupe doit affronter un réseau d’agents spéciaux particulièrement entraînés, le Syndicat.

    Cette organisation sans scrupules est  déterminée à mettre en place un nouvel ordre mondial à travers des attaques terroristes de plus en plus violentes.

    Ethan regroupe alors son équipe et fait alliance avec Ilsa Faust (Rebecca Ferguson), agent britannique révoquée, dont les liens avec le Syndicat restent mystérieux.

    Ils vont s’attaquer à la plus impossible des missions : éliminer le Syndicat.

     
    Au cinéma le 12 août 2015
    Vivez le en IMAX

     

    De Christopher McQuarrie

    Avec Tom Cruise, Simon Pegg, Jeremy Renner, Alec Baldwin, Ving Rhames et Rebecca Ferguson

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  • LES DOSSIERS SECRETS DU VATICAN

    PAR LES PRODUCTEURS DE L’EXORCISME D’EMILY ROSE

    - LE 29 JUILLET 2015 AU CINÉMA - 

     

    Un film de Mark Neveldine (Hypertension 1 & 2, Ghost Rider : l’esprit de vengeance)

    Avec Olivia Taylor Dudley, Michael Peña (Fury, Ant-Man), Djimon Hounsou (Fast & Furious 7, Les Gardiens de la Galaxie), Dougray Scott (Taken 3), Peter Andersson (Millenium)

     

    DÉCOUVREZ UNE FEATURETTE :

     

    (RE)DÉCOUVREZ LA BANDE-ANNONCE :

     

    SYNOPSIS :

    Angela Holmes, une jeune femme ordinaire de 27 ans, comprend un jour que sa présence a un effet dévastateur sur son entourage, infligeant des blessures, voire la mort, à ceux qui l’approchent. Estimant qu’elle est possédée, le Vatican est sollicité pour pratiquer l’exorcisme. Mais il s’avère que le mal qui ronge Angela est une ancienne force satanique d’une puissance hors du commun.

    Le père Lozano va tenter d’éliminer le redoutable démon, pas seulement pour sauver l’âme de la jeune femme, mais notre monde...

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  • MAKING OF - EN AVION SANS DOUBLURE
     


    SITUATION EXTRÊME… MESURES EXTRÊMES.


    Le 12 août au cinéma, Ethan Hunt (Tom Cruise) et son équipe
    se retrouveront face à la plus impossible des missions.

     

    LES CASCADES SEMBLENT RÉELLES

    PARCE QU’ELLES SONT RÉELLES !

     

    VOST : 

     

    L’AFFICHE

     

    LA BANDE-ANNONCE

    VOST :

     

    VF :

     

    LE SYNOPSIS 

     

    L’équipe IMF (Impossible Mission Force) est dissoute et Ethan Hunt (Tom Cruise) se retrouve désormais isolé,

    alors que le groupe doit affronter un réseau d’agents spéciaux particulièrement entraînés, le Syndicat.

    Cette organisation sans scrupules est  déterminée à mettre en place un nouvel ordre mondial à travers des attaques terroristes de plus en plus violentes.

    Ethan regroupe alors son équipe et fait alliance avec Ilsa Faust (Rebecca Ferguson), agent britannique révoquée, dont les liens avec le Syndicat restent mystérieux.

    Ils vont s’attaquer à la plus impossible des missions : éliminer le Syndicat.

     

      
    Au cinéma le 12 août 2015
    Vivez le en IMAX

     

    De Christopher McQuarrie

    Avec Tom Cruise, Simon Pegg, Jeremy Renner, Alec Baldwin, Ving Rhames et Rebecca Ferguson

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