• 13 HOURS
    de Michael Bay 

     

    Découvrez la première bande-annonce du film 13 HOURS.

     

    Au cinéma le 27 janvier 2016.

     

    Benghazi (Libye), 11 septembre 2012

    Confrontés au pire, six hommes ont eu le courage de tenter l’impossible.

    VOST : 

    VF : 

     

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  • Metropolitan Filmexport, Lionsgate et Black Label Media présentent une production Thunder Road.

    SICARIO

    -  LE 7 OCTOBRE 2015 AU CINÉMA - 

     

    Un film de Denis Villeneuve (Incendies, Prisoners)

    Avec Emily Blunt (Edge of tomorrow, Le diable s’habille en Prada), Benicio del Toro (Che, Traffic), Josh Brolin (No country for old men, Inherent Vice), Victor Garber (Argo, Titanic) et Jon Bernthal (Le loup de Wall Street, Fury) 

     DÉCOUVREZ LA NOUVELLE BANDE-ANNONCE :

    SYNOPSIS :

    La zone frontalière entre les Etats-Unis et le Mexique est devenue un territoire de non-droit.

    Kate (Emily Blunt), une jeune recrue idéaliste du FBI, y est enrôlée pour aider un groupe d’intervention d’élite dirigé par un agent du gouvernement (Josh Brolin) dans la lutte contre le trafic de drogues.

    Menée par un consultant énigmatique (Benicio Del Toro) l'équipe se lance dans un périple clandestin, obligeant Kate à remettre en question ses convictions pour pouvoir survivre.

    Crédit photos : Richard Foreman

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  •  

    LES DOSSIERS SECRETS DU VATICAN

    PAR LES PRODUCTEURS DE L’EXORCISME D’EMILY ROSE

    - MERCREDI 29 JUILLET 2015 AU CINÉMA - 

     

    Un film de Mark Neveldine (Hypertension 1 & 2, Ghost Rider : l’esprit de vengeance)

    Avec Olivia Taylor Dudley, Michael Peña (Fury, Ant-Man), Djimon Hounsou (Fast & Furious 7, Les Gardiens de la Galaxie), Dougray Scott (Taken 3), Peter Andersson (Millenium)

     

    DÉCOUVREZ TROIS EXTRAITS 

    « L’entretien »

    « Chaos »

     « Montre-toi »

    Angela Holmes, une jeune femme ordinaire de 27 ans, comprend un jour que sa présence a un effet dévastateur sur son entourage, infligeant des blessures, voire la mort, à ceux qui l’approchent. Estimant qu’elle est possédée, le Vatican est sollicité pour pratiquer l’exorcisme. Mais il s’avère que le mal qui ronge Angela est une ancienne force satanique d’une puissance hors du commun.

    Le père Lozano va tenter d’éliminer le redoutable démon, pas seulement pour sauver l’âme de la jeune femme, mais notre monde...

     

    (RE)DÉCOUVREZ LA BANDE-ANNONCE

    (RE)DÉCOUVREZ UNE FEATURETTE :

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  • Un film de Yves Angelo 

    Avec Sylvie Testud, Grégory Gadebois et Mathilde Bisson

    LE 9 SEPTEMBRE 2015 AU CINÉMA

     

    SYNOPSIS :

    Sophie, juge d'instruction, auditionne un jour Juliette, pour des faits d’abus de faiblesse sur son amant. Elle se rend compte après enquête que la prévenue est la mère biologique de l’enfant qu’elle a adopté. Loin de se dessaisir de l’affaire, Sophie s’acharne contre cette femme. Olivier, son mari, désapprouve son attitude et entre en relation avec Juliette sans lui révéler sa véritable identité. Mais la jeune femme découvre qu’Olivier est le mari de sa juge. Elle ne comprend pas ce qu’il cherche, lui ne peut plus lui révéler la vérité...

     

    Découvrez la bande-annonce :

    Distribution

     

    Retrouvez #AuPlusPresDuSoleil sur

    *Bac Films

    *@BAC_FILMS

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  • FOU D'AMOUR

    Film de Philippe Ramos

    avec Melvil Poupaud, Dominique Blanc, Diane Rouxel, Jean-François Stévenin, Jacques Bonnaffé, Lise Lamétrie

    Synopsis :

    1959. Coupable d’un double meurtre, un homme est guillotiné. Au fond du panier qui vient de l’accueillir, la tête du mort raconte : tout allait si bien ! Curé admiré, magnifique amant, son paradis terrestre ne semblait pas avoir de fin.

    Le 16 septembre 2015 au cinéma

     

    (BANDE ANNONCE)

     

    ENTRETIEN AVEC PHILIPPE RAMOS

     

    L’affaire dite du curé d’Uruffe, sordide fait divers survenu dans les années 50, était déjà la source d’inspiration de l’un de vos courts métrages. Pourquoi avoir à nouveau retravaillé sur ce sujet ?

    Dans Ici-bas, j’avais mis sur les épaules du curé toutes les angoisses du monde, faisant du film un objet empreint d’une gravité asphyxiante : toute la part très vivace et séductrice du meurtrier avait été mise de côté. Cela m’a laissé un goût d’inachevé. Avec Fou d’amour, exactement comme un peintre reprend son motif pour en dévoiler de nouveaux aspects, j’ai retravaillé « ma toile » : cette fois, bonheur et plaisirs volubiles allaient précéder la folie ravageuse. Il s’est donc agi de placer le film sous un ton léger, voire humoristique, avant de changer progressivement les couleurs par petites touches pour créer une sorte de dégradé d’atmosphère et de sentiments jusqu’à un noir intense et tragique.

     

    Dans votre travail d’adaptation, êtes-vous resté très proche du fait divers ?

    J’en ai gardé certains éléments comme le double meurtre, le club de foot, le petit théâtre… Puis, après avoir changé l’ensemble des noms des protagonistes et des lieux, j’ai laissé aller mon imaginaire : dans la réalité, la jeune victime n’était pas aveugle, le curé n’a pas été guillotiné… etc., etc.

     

    Puisque le vrai curé n’a pas été guillotiné, qu’est-ce qui vous a poussé à le faire exécuter ?

    Inspiré par des remarques de mon producteur sur le scénario, j’ai eu l’idée de mettre le film sous l’emprise d’une voix venue « d’entre les morts ». Fou d’amour allait être hanté par un conteur macabre : la tête coupée du curé… Ce qui est à la fois drôle et terrible. Ainsi, je tenais là une pièce maîtresse qui reflétait parfaitement l’aspect comique et tragique que je voulais donner au film. Le choix de l’exécution a donc été guidé par un parti pris dramaturgique et non par une volonté de parler de la peine de mort. Cette question, d’ailleurs comme celle de la sexualité des prêtres, est peut-être sous-jacente, mais ce n’est en rien mon propos. À partir d’un contexte historique ou social, je cherche avant tout à creuser l’intimité des êtres humains, à mettre l’homme à nu, à peindre ses désirs, sa folie. En cela, je suis plus un « cinéaste portraitiste » qu’un cinéaste scrutateur de la société et des grandes problématiques qu’elle génère.

     

    Parlant de littérature, Walter Benjamin dit que le narrateur est celui auprès de qui le lecteur aime à se réfugier fraternellement. Vous sentez-vous proche de ce point de vue ?

    Absolument. Je dois même reconnaître que j’ai volontairement utilisé cette fraternité pour pouvoir, insidieusement, emporter le spectateur vers un abîme. Ce qui est un jeu un peu pervers ou manipulateur… Mais je crois au bon sens du terme, au sens hitchcockien du terme, si vous voulez. Abreuvés des bonnes paroles de cet homme qui se pose en victime, qui parle joliment, qui a de l’esprit, nous nous laissons conduire vers une destination bien sombre : la troublante immensité de la folie humaine.

     

    Peut-on dire que le conteur, la tête du mort, est le personnage central du film ?

    Oui... Et pour que cela fonctionne, le talent de Melvil Poupaud lors du travail de la voix off aura été fondamental. Sa diction très soyeuse, cette manière bien à lui de rendre les mots goûteux à nos oreilles, participent pleinement au fait que le spectateur se laisse si facilement charmer. Nous avons enregistré toutes les voix off « in situ », pendant le tournage. Melvil était donc absolument imprégné de son personnage lorsqu’il disait les textes. Souvent l’enregistrement avait lieu le week-end. En début de semaine, il repassait la soutane et nous nous replongions dans le petit monde du curé. Pour incarner ce personnage aux multiples facettes, Melvil a su être beau et ridicule, intelligent et médiocre, gracieux et pitoyable… Tous ces contrastes dont nous avions beaucoup parlé lors de nos rencontres d’avant tournage, il les a fait renaître sur le plateau avec subtilité et générosité.

     

    À ses côtés, nous retrouvons des acteurs de « votre petite troupe », Dominique Blanc notamment.

    Oui, comme pour Jean-François Stévenin ou Jacques Bonnaffé, j’ai tenu à retravailler avec elle. Une phrase de la voix off, coupée au montage, disait à propos du personnage que Dominique interprète : « Comment ai-je pu abandonner une femme d’une telle élégance d’esprit ? » Cette expression, « élégance d’esprit », résume parfaitement ce que je pense de cette grande actrice et du raffinement de son jeu. Au sein des phrases d’un quotidien le plus banal, avec discrétion, l’air de rien, Dominique est capable de donner une énorme intensité à chaque geste, à chaque intonation. À mes yeux, ce mélange d’apparente nonchalance et de force fait toute l’intelligente beauté de son travail.

     

    Diane Rouxel n’a jamais travaillé avec vous. Comment l’avez-vous rencontrée ?

    Je l’ai rencontrée grâce à Isabelle de La Patellière, son agent. Diane venait de terminer le film de Larry Clark, The smell of us et se préparait à jouer dans La tête haute d’Emmanuelle Bercot. Interpréter une aveugle est une chose bien délicate. Durant un essai réalisé en sa compagnie, Diane a découvert qu’elle pouvait faire bouger ses yeux dans tous les sens et tenir des positions de regard très singulières. Cette petite trouvaille « technique » a été déterminante pour nous car elle donnait une base réaliste au travail que nous allions devoir accomplir. Pour le reste, sa jeunesse, sa beauté, la forme d’innocence qu’elle dégage, sont venues parfaitement nourrir l’image que le curé se fait d’elle : pour lui, c’est une icône.

     

    Pour aborder votre manière singulière de travailler, il me paraît fondamental que vous nous disiez d’abord comment vous êtes venu à faire des films.

    Au collège, alors que je n’avais aucun rapport particulier au cinéma (je voulais faire de la BD), un professeur nous a proposé de faire un dessin animé. Absolument séduit par cette expérience, j’ai acheté une caméra Bauer Super 8 et j’ai commencé à faire des films. Je n’avais aucune culture cinéphilique ou théorique. Je faisais une sorte de bande dessinée que je m’attachais ensuite à reproduire « en vrai », avec des copains de classe subitement intronisés acteurs. Cela a donné une douzaine de films Super 8, courts et longs métrages. Ainsi, durant plusieurs années, j’ai pratiqué un travail très solitaire au sein de ma petite fabrique artisanale.

     

    Le fait que vous soyez aujourd’hui opérateur ou monteur sur vos films est un écho direct de « cette petite fabrique » ?

    Oui, sans doute que toutes ces années Super 8 se sont durablement ancrées en moi. Aujourd’hui si, comme tous les réalisateurs, je m’entoure de précieux collaborateurs, dans certain cas, j’ai aussi besoin de pétrir moi-même la matière pour la comprendre, pour l’apprivoiser. Alors, je choisis seul mes décors, je travaille l’image, je monte. Cette manière de mettre « la main à la pâte », effectivement venue du cinéma amateur, est un véritable besoin, comme certains peintres ont besoin de mélanger eux-mêmes leurs pigments de couleurs alors que des spécialistes autour peuvent parfaitement les préparer. Ces peintres trouvent dans ce geste solitaire et simple de fabrication une concentration, et peut-être même pour certains une inspiration, qui enrichira leur création. C’est exactement pareil pour moi.

     

    Dans vos propos, vous faites souvent allusion au travail du peintre, à la peinture…

    Étrangement, j’ai plus envie de faire du cinéma quand je regarde un tableau que lorsque je vois un film… Comme si c’était un plus grand déclencheur de désirs. Thématiques, personnages, gestes, couleurs, formes, tout m’inspire dans la peinture et me pousse à suivre ce chemin-là. Je pourrais presque dire que mes véritables maîtres ne sont pas des cinéastes, mais des peintres. D’ailleurs, lorsque j’étudiais l’histoire de l’art, je disais que c’était la meilleure école du cinéma qui soit. Comme si en apprenant comment les peintres travaillaient, vivaient leur art, j’allais apprendre à faire des films… Ce n’était peut-être pas si faux !

     

    Votre utilisez un story-board… Là encore, il est question de dessins !

    Ce petit livre dessiné est vraiment un objet très précieux pour mon travail. Il contient tous mes choix d’écriture, de décors, d’image, de montage… Il est une forme précise du film, une structure préétablie, architecturée, que les comédiens intègrent, viennent habiter, et ce faisant rendent vivante. Le story-board me permet de visualiser et de composer clairement le style du film. Un style où je recherche la mise en valeur des césures, du contrepoint, des oppositions. D’ailleurs, cette volonté de faire se confronter les choses, de fragmenter, d’opposer, se retrouve à toutes les étapes de mon travail, du scénario au montage. Il suffit déjà de regarder comment le film est bâti pour le constater : il est en deux morceaux… Une tête et un corps !

     

    Vous nous avez parlé des différentes facettes de votre personnage, vous venez d’évoquer une forme fragmentée, pourquoi insister autant sur ces lignes multiples ou brisées ?

    Peut-être parce qu’elles me paraissent être le juste reflet de la vie.

     

    FILMOGRAPHIE PHILIPPE RAMOS

     

    LONG METRAGES

    FOU D’AMOUR

    2015, 105 mn

    Avec : Melvil Poupaud, Dominique Blanc, Diane Rouxel, Lise Lamétrie, Jean-François Stévenin, Jacques Bonnaffé

     

    JEANNE CAPTIVE

    2011, 90 mn

    Avec : Clémence Poésy, Thierry Frémont, Mathieu Amalric, Liam Cunnimgham, Louis-Do de Lencquesaing, Jean-François Stévenin, Johan Leysen.

    Festival de Cannes 2011 - Sélection à La Quinzaine Des Réalisateurs

     

    CAPITAINE ACHAB

    2007, 94 mn

    Avec : Denis Lavant, Dominique Blanc, Jacques Bonnaffé, Jean-François Stévenin, Philippe Katerine, Carlo Brandt, Hande Kodja, Mona Heftre.

    Prix de la Mise en Scène au Festival de Locarno 2007

    Prix de la Critique Internationale au Festival de Locarno 2007

     

    ADIEU PAYS

    2002, 80 mn

    Avec : Françoise Descarrega, Philippe Garziano, Frédéric Bonpart.

    Prix Spécial du Jury au Festival d’Albi 2003

     

    COURTS METRAGES

    CAPITAINE ACHAB 2003, 22 mn

    L'ARCHE DE NOÉ 1999, 57 mn

    ICI BAS 1996, 26 mn

    VERS LE SILENCE 1995, 35 mn

    MADAME EDWARDA 1992, 20mn

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  • LE TOUT NOUVEAU 

    TESTAMENT

     

           LE 2 SEPTEMBRE 2015 AU CINÉMA

     

    Un film de Jaco Van Dormael

    Avec Benoît Poelvoorde, Catherine Deneuve, François Damiens et Yolande Moreau

     

     Le Tout Nouveau Testament a été présenté

    à la Quinzaine des Réalisateurs au Festival de Cannes2015

     

     SYNOPSIS :

    Dieu existe. Il habite Bruxelles. Il est odieux avec sa femme et sa fille. On a beaucoup parlé de son fils, mais très peu de sa fille. Sa fille c’est moi. Je m’appelle Ea et j’ai dix ans. Pour me venger j’ai balancé par SMS les dates de décès de tout le monde…  

      BANDE ANNONCE :

    Dieu a décidé de se mettre à la page et s’est mis sur Twitter ! N’hésitez pas à le suivre !

    Distribution

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  • HUNGER GAMES

    LA RÉVOLTE

    PARTIE 2

     

    - LE 18 NOVEMBRE 2015 AU CINÉMA - 

    DÉCOUVREZ LA NOUVELLE BANDE-ANNONCE DU FILM ÉVÈNEMENT  :

    VF

    SYNOPSIS 

    Alors que Panem est à présent ravagé par une guerre totale, Katniss et le Président Snow (Donald Sutherland) vont s’affronter pour la dernière fois. Katniss et ses plus proches amis – Gale (Liam Hemsworth), Finnick (Sam Claflin), et Peeta (Josh Hutcherson) – sont envoyés en mission pour le District 13 : ils vont tenter d’assassiner le Président Snow, qui s’est juré de détruire Katniss.

     

    Les pièges mortels, les ennemis et les choix déchirants qui attendent Katniss seront des épreuves bien pires que tout ce qu’elle a déjà pu affronter dans l’arène…

     

    LES AFFICHES PERSONNAGES  

    LES IMAGES DU FILM  

    RETROUVEZ TOUT L’UNIVERS DU FILM SUR 

    http://TheHungerGames.movie 

    ET REJOIGNEZ KATNISS ET LE DISTRICT 13 SUR  

    http://www.revolution.pn/

    #TousUnis

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  • LE PRODIGE
    D’APRÈS UNE HISTOIRE VRAIE

    - LE 16 SEPTEMBRE 2015 AU CINÉMA -

    Un film de Edward Zwick (Légendes d’automne, Blood Diamond, Le dernier samouraï)

    Sur un scénario de Steven Knight, (Les promesses de l’ombre, Dirty Pretty Things)

    Avec Tobey Maguire (Saga Spider-Man, Gatsby le Magnifique), Liev Schreiber (X-Men Origins : Wolverine, Salt, ) Peter Sarsgaard

    DÉCOUVREZ LA BANDE-ANNONCE :

    L’histoire de Bobby Fischer (Tobey Maguire), le prodige américain des échecs, qui à l’apogée de la guerre froide se retrouve pris entre le feu des deux superpuissances en défiant l’Empire Soviétique lors du match du siècle contre Bobby Spassky (Liev Schreiber). Son obsession de vaincre les Russes va peu à peu se transformer en une terrifiante lutte entre le génie et la folie de cet homme complexe qui n’a jamais cessé de fasciner le monde.

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  • Les Bêtises

    Un film de Rose et Alice Philippon,

    Avec Jérémie Elkaïm, Sara Giraudeau, Jonathan Lambert et Jacques Weber

    "Fallait pas m'quitter tu vois
    Il est beau le résultat"


    LE 22 JUILLET 2015 AU CINEMA !

     

    François, la trentaine, lunaire et maladroit, est un enfant adopté. Pour rencontrer sa mère biologique, il s’introduit dans une fête organisée chez elle, se faisant passer pour le serveur. Il se retrouve alors au service d’une famille dont il ignore tout, la sienne.

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  •  

    SORTIE EN SALLES LE 14 OCTOBRE 2015 

     

    Un film d’Arthur Benzaquen

    Avec Kev Adams, Jean-Paul Rouve, Vanessa Guide, William Lebghil, Audrey Lamy, Eric Judor, Michel Blanc et Nader Boussandel 

    Une coproduction : Pathé / 74 Films / M6 Films / Artémis Productions

     

    SYNOPSIS

    À la veille de Noël, Sam et son meilleur pote Khalid se déguisent en Père-Noël afin de dérober tout ce qu’ils peuvent aux Galeries Lafayette. Mais Sam est rapidement coincé par des enfants et doit leur raconter une histoire... l’histoire d’Aladin... enfin Sa version. Dans la peau d’Aladin, Sam commence alors un voyage au coeur de Bagdad, ville aux mille et une richesses... Hélas derrière le folklore, le peuple subit la tyrannie du terrible Vizir connu pour sa férocité et son haleine douteuse. Aladin le jeune voleur, aidé de son Génie, pourra-t il déjouer les plans diaboliques du Vizir, sauver Khalid et conquérir le coeur de la Princesse Shallia ? En fait oui, mais on ne va pas vous mentir, ça ne va pas être facile !

     

    Teaser 2 :

    Qui a dit que le Vizir Jean-Paul Rouve n’avait pas d’humour ?

     

     

    (Re)découvrez le Teaser 1 avec Aladin et son génie 

     

    Distribution :

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